Magali Godfroid

Massothérapeute

Informations Pratiques

Massage du Ventre (Chi Nei Tsang)

Aspects Neuro-Physiologiques

Adresses

Waterloo : Centre Psyché

Woluwé-saint-Lambert

Le massage du ventre (« des organes internes » en traduction plus littérale), relance les fonctions physiologiques des différents organes potentiellement engorgés par un blocage du bol alimentaire dans le circuit de la digestion ou limités dans leurs actions par cause externe (manifestations somatiques du stress, constipation, diarrhée chronique, gastroparésie, maladie de Crohn, engorgement hépatique, syndrome du côlon irritable, douleurs suite à un dérèglement hormonal, ballonnements, …). Par des techniques d’étirement, de ballottement, d’effleurage, …, le Chi Nei Tsang permet de libérer le système intestinal et relance le péristaltisme, indispensable à une bonne digestion et absorption des nutriments.

Aspects Psycho-Affectifs

La gestion du stress et libération émotionnelle par le travail du ventre n’a rien de “mystique”. Le massage du ventre possède les mêmes effets de base constater avec le toucher. Cela signifie une libération des hormones et neurotransmetteurs spécifiques de la détente et du bien-être entraînant une baisse du taux de cortisol dans le sang (hormone du stress). Le ventre, en plus de compter environ 100 000 milliards de bactéries (soit 1000 fois plus que le nombre de neurones dans le cerveaux), compte 200 millions de neurones responsables de la communication entre les intestins et le cerveau grâce au nerf vague. Selon PileJe.fr95% de la sérotonine est produite au niveau de l’intestin[…]. La sérotonine est un neurotransmetteur, parfois aussi appelé «hormone de la sérénité» qui régule une vaste gamme de fonctions comme l’humeur ou le comportement.

La gestion du stress, qu’il soit d’origine professionnelle, post partum, stress post-traumatique, est donc tout à fait explicable et potentiellement gérable grâce au travail du ventre.

Précautions

  • FORTEMENT déconseillé au femmes enceintes.
  • Déconseillé au moment de la période menstruelle.
  • A limiter en cas d’infection urinaire en phase inflammatoire.